Au lendemain de la défaite de Mario Vargas Llosa aux élections présidentielles de son pays, on a pu dire : «Tant pis pour le Pérou, tant mieux pour la littérature.» L'écrivain s'était-il donc fourvoyé en se lançant, sur un coup de cœur, dans la bataille électorale ? Était-il devenu, trois ans durant écarté